Héritage Captif – Interview avec Olivia Billington

 
 
 

Héritage captif

Comme toutes les femmes de sa famille, Mélina est une sorcière. Brutalement privée de ses trois tantes lors d’un incendie, elle est la seule à savoir qu’il ne s’agit pas d’un accident.
Décidée à découvrir la vérité, elle utilise son don de perception et tente d’extraire les souvenirs ancrés dans les objets des défuntes.
L’enquête s’annonce difficile, car Mélina doit taire sa véritable nature… À moins qu’elle ne puisse se fier à Valentin, ce jeune homme qui s’immisce bien malgré elle dans sa vie – hasard, destin ?
Parviendra-t-elle à trouver les réponses sans dévoiler son secret ?

Parution le 21 janvier 2019
ISBN :978-3-95858-186-9
e-ISBN : 978-3-95858-187-6

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Bonjour Olivia !
Peux-tu te présenter en quelques mots stp ?

O.B. : Bonjour ! Impulsive et réfléchie, timide et bavarde, posée et nerveuse, douce et brusque, toute en contradiction. Forcément. Maman de deux enfants. Belgo-anglaise – oui, c’est mon vrai nom.

Comment t’est venue l’idée de Héritage captif ?

O.B. : Au départ, j’ai écrit un court texte à partir d’un tableau – une femme en robe rouge, au sol, qui tend la main vers une maison. Ce texte est devenu une nouvelle, puis j’ai décidé d’en tirer un roman, avec des personnages supplémentaires. Mélina a donc fait son apparition, ainsi qu’Aude et Valentin. (!!! Attention, spoiler pour la suite !!!) Dans la première version, leurs liens étaient sentimentaux, cependant, à la relecture, j’ai réalisé que cette relation amoureuse n’apportait rien au roman, et je l’ai supprimée.

Mélina est une jeune sorcière qui évolue de nos jours… Peux-tu nous expliquer son pouvoir ?

O.B. : Elle est capable, en tenant un objet, d’en extraire les souvenirs de la personne à laquelle appartient (ou appartenait) ledit objet. Elle ne peut utiliser son don qu’avec parcimonie, car les réminiscences se révèlent parfois douloureuses, tant physiquement que mentalement.

Aimerais-tu posséder ce don ?

O.B. : Je ne crois pas. De nature très sensible, je ne suis pas sûre d’être capable de gérer un tel afflux d’émotions…

Tes romans sont difficiles à classer… Il y a du fantastique, de l’enquête, voire du thriller. Est-ce un choix calculé ou guidé par la plume ?

O.B. : Guidé par ma plume, qui a du mal à rentrer dans les cases. Je me rends compte que ça peut parfois perturber mon lectorat, cependant il m’est difficile de me dire « bon, je vais écrire une histoire dans tel genre, respecter tels codes », j’ai toujours envie d’explorer, de mélanger.

Y a-t-il un lien avec ton roman précédent chez Nats Éditions, L’abîme au bout des doigts ?

O.B. : Non, aucun (même si, sur les deux couvertures, il y a une femme en robe rouge). En revanche, il y a un clin d’œil dans Héritage captif à un autre de mes romans publiés, ainsi qu’à un second (mais qui n’est, à l’heure actuelle, pas publié – peut-être, un jour…).

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Merci ! 🙂

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