Apostrophe – Interview avec ses auteures


Les rencontres extraordinaires d’Apostrophe

Suivons Apostrophe au-delà des forêts, jusqu’à l’océan, en compagnie de ses amis extraordinaires.

Parution le 18 décembre 2017
ISBN : 978-3-95858-166-1
e-ISBN : 978-395858-167-8

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Bonjour les filles !

Qui est Apostrophe ? D’où vient-il ?
Alexandra Klein 
: Apostrophe est une petite souris avide de découvertes et de rencontres. Elle vient du fin fond de la forêt – un mélange entre mes neurones et celles de Marjorie ! Et elle va se balader et ainsi découvrir la richesse de son monde.
Marjorie Anthouard : Apostrophe est une souris grise au pelage velour qui part pour découvrir un monde fantastique plein de créatures merveilleuses…

 

Pouvez-vous nous en dire un peu plus sur son Voyage extraordinaire ?
A.K.
 : Son voyage extraordinaire c’est le cheminement entre la magie d’animaux extraordinaires qu’on rêverait tous de rencontrer en vrai, qui se fondent dans de vrais décors, avec un soupçon d’appel à la tolérance et un appel aux différents sens qu’ils soient l’odeur, le toucher, la vue… Chacune de ces rencontres apportent une touche de douceur et de rêves et aussi un peu d’humour !
M.A. : Apostrophe fait un voyage aux rencontres magiques et surréalistes que sont les créatures qu’elle va rencontrer dans des paysage magnifique.

 

Apostrophe a connu une première vie en autoédition… Pourquoi avoir choisi de le faire rééditer par une maison d’édition ?
A.K. : Effectivement, Apostrophe est née en auto-édition car je connaissais le procédé pour l’avoir déjà réalisé avec un livre précédent. Mais je voulais qu’elle puisse voyager au-delà de mon cercle de connaissances, émerveiller d’autres enfants et travailler de concert avec des professionnels de l’édition pour apprendre et améliorer ce qui avait été fait. Et puis, Marjorie a un talent fou, et pour avoir accepté de me suivre dans ce projet je voulais lui donner aussi sa chance d’avoir une visibilité sur son travail et pourquoi pas ainsi l’amener à d’autres projets. Cela a été une bonne dose de motivation en plus pour avoir le courage de présenter le livre !
M.A. : Alex m’a juste permis de montrer mon talent à travers ce livre puis a décidé de contacter une maison d’edition pour nous mener encore plus loin avec nos deux talents.

 

Comment est née votre collaboration ?
A.K.
 : Un pur hasard ! J’avais l’idée de faire une histoire pour enfant, d’insérer sur des photos que j’avais pu faire lors de différents séjours à droite et à gauche en France des illustrations mais c’était encore flou dans ma tête. La magie d’internet a fait que j’ai lancé un appel à collaboration en décrivant le projet de la même manière à peu près et l’une de mes meilleures amies à pensé à sa belle-sœur que je ne connaissais pas du tout ! Après un bref échange, elle m’a timidement envoyé une photo prise dans la forêt avec une esquisse de souris. J’ai été emballée par son coup de crayon et dans la foulée tout s’est mis en place dans ma tête pour l’histoire. J’ai fait ma sélection de photos, et tout à trac je lui ai envoyé en lui demandant de lire tranquillement et de voir si cela l’inspirait et si elle souhaitait participer au projet. A chaque fois que je voyais son mail avec une illustration de réalisée, c’était comme un matin de Noël. Voir ce qu’il y avait dans ma tête dessiné, là devant mes yeux, c’était formidable !
M.A. : Alex, une amie de ma belle-sœur, m’a contacté par le biais de celle-ci car elle voulait une illustratrice pour conte, et mon rêve était de dessiner pour un livre d’enfant, du coup ca tombait à pic pour moi. Alors je me suis mis a réaliser des dessins et ca nous a plu, c’était génial ! Je réalise mon rêve et ce rêve n’est pas fini…

 

Avez-vous d’autres projets, ensemble ou individuellement ?
A.K. : J’ai plein de projets qui fourmillent dans ma tête, certains sont déjà à moitié couchés sur le papier, d’autres attendent de mûrir encore un peu. Nous avons évoqué le fait de retravailler ensemble, il faut que j’ose lui demander si ça la tente de travailler sur une couverture (dis oui !) et j’espère qu’on pourra se replonger dans cette ébullition créative qui nous a tenu en haleine quelques mois !
M.A. : Un rêve ne doit pas finir ! Bien sûr que je te suis, je suis toute « oui » pour d’autres aventures…

 

Merci !

 

Irïan, T1 : Semblables – Interview avec Saïph Riguel


Irïan, T1 : Semblables

Étudiante en astrophysique, Naya prépare sa thèse à l’observatoire du Cantal.
En cette nuit du 12 août 2012, la doctorante, son directeur de thèse et sa collègue observent les Perséides.
Ce soir, rien ne va.
Quand les météorites finissent par se dévoiler, ce n’est pas un caillou qui tombe dans le jardin de l’observatoire, mais un vaisseau aux allures d’insecte…
Irïan est venu chercher sa pilote.

Parution le 4 décembre 2017
ISBN : 978-3-95858-151-7
e-ISBN : 978-395858-152-4

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Bonjour Saïph!

Présente-nous l’univers d’Irïan…

S.R. : Tout d’abord, parlons d’Irïan lui-même. Irïan est un vaisseau spatial extraterrestre d’exploration, reconverti pour l’armée. Son mode de pilotage, par symbiose avec son pilote, lui donne un caractère sans gêne et décapant. Irïan est le prototype originel, l’œuvre jamais achevée de Naïri Laïtar, cependant ce dernier vient de mourir et Irïan cherche un nouveau pilote qui corresponde à sa symbiose. Un semblable.

À présent nous pouvons aborder le monde dans lequel ce personnage évolue.

L’univers d’Irïan n’est pas un, mais douze. Il s’agit d’univers parallèles imbriqués, chacun ayant vu évoluer une espèce particulière. Ainsi, quand le nôtre est homo sapiens (5eme univers), le peuple d’Irïan (4eme univers) est insectoïde. Ce peuple a élu résidence sur la planète Ispilăn et deux de ses lunes.

Cette différence entraîne une société matriarcale et technologique qui s’illustre dans les dialogues par du féminin de généralité et un rapport homme/femme particulier.

 

Quelle est l’intrigue de ce premier tome ?

S.R. : La quête d’un nouveau pilote est motivée par la mission d’Irïan. S’il a été reconverti en vaisseau militaire, c’est parce qu’une guerre souterraine agite son peuple depuis plusieurs années. Parmi divers mouvements contestataires, Irïan est le blason de la rébellion Laïtar. Pourquoi Irïan cherche-t-il un pilote sur Terre ?  Quelle aide pourra apporter ce pilote ? Pourquoi aller chercher si loin ?

Rendez-vous dans quelques chapitres.

 

Combien de tomes prévois-tu ?

S.R. : Trois tomes sont prévus et ils sont déjà écrits ! Il n’y aura donc pas de latence entre les publications et le sort des divers personnages est déjà scellé. Cela me donne l’avantage de ne pas écrire sous pression et de ne pas dévier malgré les futurs retours des lecteurs. Adieu le risque de faire du « fan-service ».

 

La mise en page, en particulier les dialogues, est un peu particulière, très proche du théâtre. Pourquoi ce choix ?

S.R. : Ah ces dialogues, ils auront fait couler beaucoup d’encre ! Je suis tombée dans le théâtre avant le roman, notamment avec Cyrano de Bergerac. J’ai aimé cette liberté d’imaginer sans contrainte. Néanmoins le déclic s’est fait plus tard avec le roman/théâtre : on ne badine pas avec l’amour de Musset. Par la suite j’ai découvert que ce genre de dialogue était utilisé par Diderot et dans d’autres littératures, entre autres la littérature Arabe.

Enfin, quand j’ai conçu cette histoire en 2004, j’étais lycéenne, dans une démarche d’appropriation de l’écriture et cette façon d’écrire les dialogues m’a libérée d’un joug. Écrire a toujours été une épreuve avec toutes ses règles, ses codes, ses exceptions. J’avais besoin d’y voir clair. J’ai donc « cadré » ça à ma façon un peu scientifique, je l’avoue.

 

Sur ton temps libre, tu participes à pas mal de jeu de rôles grandeur nature… Penses-tu que l’univers d’Irïan pourrit se prêter à un jeu de ce genre ?

S.R. : J’ai écrit Irïan avant de découvrir le jeu de rôle grandeur nature. Lier les deux serait facile d’un point de vue scénaristique. Le monde est assez riche et fourmillant pour des intrigues annexes. Pourtant, d’un point de vue costume et décor, j’ai peur que cela soit compliqué. Certes, mes extraterrestres sont bipèdes, mais ils ont 4 bras, volent, utilisent leurs antennes pour entendre et communiquer. Le jeu serait possible mais l’immersion incomplète.

 

Merci !

 

La Faille spatio-temporelle – Interview avec les auteures


La Faille spatio-temporelle

Par une froide journée d’hiver, la curiosité de Valentine et Mathis est attisée par le livre de leur maîtresse. Mais il est déjà trop tard ! Un chapitre secret, intitulé « La Faille Spatio-temporelle », les projette dans l’espace-temps. Avec eux, parcours différentes périodes de notre Histoire et assiste-les dans leurs expériences qui vous permettront, peut-être, de revenir à notre époque…

Une aventure intense et ludique de Plum’2 Muse, illustrée par Sandra Garcia, avec le Dico-Muse des définitions en annexe.

Parution le 20 novembre 2017
ISBN : 978-3-95858-163-0
e-ISBN : 978-395858-164-7

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Bonjour les filles !

Pouvez-vous nous présenter ce conte ?
P2M : Bonjour. Alors la Faille, c’est l’histoire de deux enfants qui vont, par hasard, être transportés dans le temps. Pour s’en sortir, ils vont devoir réaliser des expériences (très simples). Le livre est adapté aux différents programmes scolaires, et il est bourré de petites anecdotes.

Comment est née votre collaboration ? Vous vous connaissiez déjà avant de travailler ensemble ?
P2M : J’ai pas eu le choix (ah ah ah). Plus sérieusement, je connaissais déjà Sandra, j’aime beaucoup son travail et sa gentillesse. Après, elle m’a été proposée par la Maison d’Edition. Tu penses bien que j’étais ravie de travailler avec elle.
S.G. :Un jour, Nats Editions m’a demandée d’illustrer cette histoire. Je connaissais déjà Christine pour l’avoir croisée à plusieurs reprises sur des salons, j’ai donc accepté.

Quel est le message ou l’objectif de La faille spatio-temporelle ?
P2M
 : Le message, c’est celui qu’a bien voulu me donner l’astrobiologiste Cyprien Verseux, spécialiste de la vie sur Mars : « N’oubliez pas d’oser ». C’est tout à fait cela. Tous les enfants, toutes les personnes sont capables de réaliser de belles choses, et de les réaliser ensemble. L’objectif est que les enfants (re)découvrent le plaisir de la science, de l’histoire, de l’école au travers d’une aventure extraordinaire (il faut le dire, quand même).
S.G. : Dans ce livre les enfants peuvent s’identifier aux personnages, rêver, et s’informer sur des faits historiques.

Plum’2 Muse, as-tu d’autres projet d’écriture ? Tu es aussi connue sous une autre identité… Peux-tu nous en dire un peu plus ou c’est un secret ? 😉
P2M : Non, ce n’est pas un secret. J’ai été retenue pour une nouvelle dans l’Antho officielle du salon Fantasy-en-Beaujolais, à Crèche-sur-Saône, salon où je présenterai La Faille en avant-première, d’ailleurs (les 11 et 12 novembre). J’ai signé l’Antho de mon vrai nom : Christine Aubouin-Decroix. Plum’2 Muse, c’était plus pour la jeunesse, et pour un rappel à mes autres « fonctions », je suis également chroniqueuse et animatrice (La Muse en parle et La Muse des Gones, c’est moi 😉 ).

Sinon, au niveau jeunesse, et en accord avec ma super éditrice et mon adorable illustratrice, j’ai souhaité dès le départ que La Faille soit un livre adapté aux personnes souffrant de dyslexie. Ce qui est le cas. À présent, je travaille sur deux autres versions, qui verront le jour chez Nats Editions, pour tous les enfants (une simplifiée et une audio).

J’ai également plein d’autres projets jeunesse qui trottent dans ma tête. Concernée, j’écris également sur le handicap invisible et ses constats désolants (ce livre se voudra positif quand même) et aussi sur mon ancien parcours professionnel et extra-professionnel (drôle et rempli d’anecdotes assez truculentes).

Bref, on va encore entendre parler de moi.

Sandra, et toi ? As-tu d’autres projets en cours ?
S.G. : Oui, des albums jeunesse sont à paraître l’année prochaine et une collection de contes revisités sous forme de mini romans jeunesse, démarrée cette année, continue avec l’auteure Audrey Calviac.

Merci !
Merci à toi.

 

 

Sex Shop Wonderland T1 – Interview avec Boris Tchechovitch


http://blog.nats-editions.com/2017/03/sex-shop-wonderland-interview-de-son.html
Sex shop wonderlandLes aventures d’un dessinateur pour enfants qui se retrouve vendeur dans un sex shop avec cabines de projection porno !

Une histoire vraie en 2 tomes.

Sortie le 20 mars 2017.
ISBN n° 978-3-95858-132-6

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Qui dit nouvelle sortie chez Nats Editions dit nouvelle interview ! Cette fois, on part à la rencontre d’un auteur/illustrateur de BD. Et pas n’importe laquelle !
Bonjour, Boris, peux-tu te présenter à nos lecteurs et nous parler de ta BD ? 
Bonjour. M’étant réfugié dans la lecture et dans l’imaginaire pendant une période difficile de mon enfance, mon aspiration est de participer à la création de livres et de publier mes dessins. Et, dans l’idéal, de livrer une vision d’ensemble, une histoire complète, d’ajouter un titre inédit au monde éditorial. Comme, par exemple, avec Sex shop wonderland.
Je suis passionné par le cinéma de genre, la bande dessinée et le livre en général, en particulier les livres documentaires en lien avec les sujets que je souhaite traiter. Les jeux vidéo des années 80/90 ont également grandement contribué à développer mes envies créatives, même si j’ai arrêté de jouer depuis quelques années pour me concentrer sur la BD.
Pour m’oxygéner, je pratique la guitare et le Tai chi.
Sex shop wonderland est ma première BD. Il s’agit d’une immersion sans concession et, je pense, sans précédent dans l’univers d’un sex shop – où j’ai bossé pendant une (très longue !) année.
Dessins pour Larousse
Comment passe-t-on de dessinateur pour enfant… à une BD sur un sex-shop ? C’est un virage à 180°, là ! 
Eh bien, on passe par la case… vendeur dans un sex shop !
Contrairement aux apparences, il ne s’agit pas d’une chute, mais d’une remontée…. mais ceci est une autre histoire.
En fait, je suis devenu dessinateur pour enfants presque par accident. J’ai toujours voulu faire de la BD. Adolescent, j’étais fasciné par les bandes de Moebius, ainsi que par Akira de Katsuhiro Otomo.
Ces influences écrasantes m’ont longtemps inhibé, il a fallu beaucoup de temps et de travail pour trouver ma propre voie.
En 4e année d’école de dessin, j’étais mal engagé en vue du diplôme, avec un projet de BD trop ambitieux et pas bien maîtrisé. Dans le cadre d’un exercice imposé, j’ai produit un dessin pour enfants frais et cohérent. Pour mes profs, il est apparu comme une évidence que j’allais obtenir mon diplôme puis trouver du travail par la suite avec ce genre de production. Mais je savais que j’allais revenir à la BD tôt ou tard.
Néanmoins, je suis resté proche de mon style jeunesse pour narrer mon aventure dans le sex shop et ses cabines de projection. Ce parti-pris crée un choc des mondes, une opposition d’où découle un espace dans lequel peut se déployer la richesse du thème. Une légèreté bienvenue aussi, compte tenu de la dureté du contexte dépeint.
Extrait de Sex shop wonderland
Toutes les scénettes illustrées dans la BD sont-elles absolument authentiques ? 
Mon attirance initiale est vers le portrait, non la caricature. Tout est vécu, observé, entendu, dans mes anecdotes, même s’il y a parfois amplification, un des rôles de l’auteur étant de dépasser la réalité pour la révéler.
L’idée de faire une BD de cette aventure est venue rapidement après mes premiers jours dans le sex shop, soufflée simultanément par mon épouse et une amie, à qui je racontais les aléas et l’aspect délirant de ce job. Ça a donné un sens à ma présence : je notais au fur et à mesure les situations et les dialogues. Il m’est arrivé de dessiner des acheteurs pendant qu’ils me tournaient le dos, de commencer une page le jour même d’une prise de bec avec un client, comme un exutoire.
Es-tu toujours vendeur dans ce sex-shop aujourd’hui ? Ton patron (ou ex-patron) sait-il que tu sors une BD sur son entreprise ? 
Le sex shop n’existe plus. Il est devenu un magasin de luminaires. Qu’est devenu le sinistre dédale de cabines ? Mystère.
Dans le monde des Bisounours, je pourrais offrir ma BD à mon ex-patron, il rigolerait un bon coup et, vu sa spécialité, pourrait même être fasciné. Mais, en réalité, compte tenu de son caractère et de ses antécédents avec ses vendeurs, je pense qu’il se sentirait trahi.
Quoi qu’il en soit, il s’agit de ma tranche de vie et de ma vision des péripéties.
Recherches de personnages secondaires pour projet BD médiéval
As-tu d’autres projets ? 
Dans l’immédiat : finir la couverture pour le tome 2 de Sex shop wonderland, qui sortira début novembre.
Ensuite, nouveau projet de BD avec un dessin plus réaliste, du moyenâgeux qui bascule dans le surnaturel. Un chantier dans les bois, un mal indicible qui se propage, un messager anodin qui sera transfiguré voire métamorphosé par les événements tragiques… à suivre…
Et pour tout savoir sur Boris, on vous invite à lire sa fiche auteur ici.

Sex Shop Wonderland, T2 – Interview avec Boris Tchechovitch


http://blog.nats-editions.com/2017/09/aristide-interview-avec-vay.html

Sex Shop Wonderland Tome 2

La suite et fin des aventures d’un dessinateur pour enfants qui se retrouve vendeur dans un sex shop avec cabines de projections porno !

Une histoire vraie en 2 tomes.

 

Parution le 6 novembre 2017
ISBN : 978-3-95858-134-0
e-ISBN : 978-395858-135-7

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Bonjour Boris !

On retrouve enfin la suite de tes « aventures » de vendeur de Sex Shop ! Est-ce que celles-ci sont toujours inspirées de faits réels ?

Dans le tome 1, tout est vrai… sauf ce qui est faux. Vrai à 99%. Dans le tome 2, tout est faux… sauf ce qui est vrai ! Mais je ne dévoilerai pas le pourcentage ! Dans « Sex Shop Wonderland », la réalité dépasse la fiction, c’est entendu… Dans cette suite, la fiction dépasse la réalité. Pourtant, la réponse donnée lors de notre interview au sujet du tome 1 sur l’ancrage dans le vécu et la véracité des événements est toujours valable.

Ces contradictions sont les forces vives de « Sex shop wonderland » et nourrissent sa complexité.

 

Extrait de la page « Coitus interruptus »

 

On pourrait penser que tu as fait le tour de la question dans le tome 1… Que reste-il à raconter dans le tome 2 ?

L’autre moitié des anecdotes, soit 46 pages de plus ! Après l’expérience difficile racontée dans le tome 1, Le vendeur est passé chef d’équipe et se laisse moins dominer par les situations et les clients. On est dans la continuité et le renouveau. On peut avoir la sensation d’avoir fait le tour de la question après la lecture du premier tome, car il se termine sur un climax spectaculaire de 8 pages. Si le tome 1 était contaminé par de multiples références au cinéma fantastique et d’horreur, plus le chamanisme pour le final, le tome 2 renouvelle la donne avec de nouveaux thèmes secondaires… mais je laisse les lecteurs découvrir lesquels. Plus un final sur lequel je me suis démené comme jamais.

 

Y aura-t-il d’autres tomes ?

Non, j’ai épuisé le filon. Un 3e tome ne ferait qu’une page car il ne manque qu’une seule anecdote que je n’ai pas racontée. La voici : « Un ancien vendeur de ce même sex shop fait irruption dans le magasin, accompagné d’un ami. Insistant, il me fait comprendre qu’un des rôles des vendeurs est de satisfaire les désirs sexuels des clients dans les cabines et que j’ai intérêt à faire pareil, surtout que lui et son ami sont venus spécialement pour en profiter ».

 


Extrait de la page « Le boulet »

 

Honnêtement : est-ce que ce job te manque ?

Question pertinente et même un peu urticante^^

C’est ambigu. Il m’arrive encore de rêver de temps en temps que je retourne travailler au sex shop. Je ressens alors clairement un mélange de soulagement et de consternation. Soulagement, car Il y a un aspect intra-utérin dans l’entreprise, tu es au chaud, tu es nourri (le salaire). Dans un magasin, le décor et le matériel sont là, les clients aussi. Il n’y a qu’à jouer son rôle de vendeur, composer avec les éléments déjà en place. Il faut dire aussi qu’il me semble parfois plus difficile d’élaborer une BD que de travailler dans un sex shop. Pour créer une bande dessinée, il y a ce vide paralysant de la page blanche. Tout doit venir des tripes et du travail du dessinateur, il faut maîtriser la perspective pour mettre en place les décors, le dessin d’objets, le dessin de personnage et du visage, les vêtements, les attitudes et expressions… Je m’éloigne un peu de la question initiale mais il me paraît bon de préciser que les choses ne sont pas aussi simples que : « le boulot alimentaire c’est de la merde et faire de la BD c’est un truc génial ».

 


Extrait de la page « Dreamscape »

 

Dans l’interview pour le T1, tu nous parlais d’un projet BD  totalement différent… Où est-ce que ça en est ?

Ca avance doucement… le moment est venu de sortir de la torpeur de l’été.

Je travaille à la fois le design des personnages et le storyboard avec mise en place des dialogues. Plus quelques illustrations finalisées, pour tester l’encrage et la mise en couleur, pour affiner le style et la technique définitive en vue des 4 pages finalisées qui constitueront le gros du dossier éditorial.

On découvrira pendant ces 4 premières pages que le rôle de messager, venu annoncer une mauvaise nouvelle sur un chantier de bûcherons menacé par un mal indicible, n’est pas de tout repos.

Merci !

 

 

 

Passeurs, T2 : Aja Lind – Interview avec Lucille H. James


http://blog.nats-editions.com/2017/09/aristide-interview-avec-vay.html

Passeurs, T2 : Aja Lind

Jeffrey Horlaw est parvenu à s’enfuir de justesse du monde d’Ithilnín. Il a manqué d’y laisser sa vie, et sa santé mentale.
Aja Lind, 16 ans, n’éprouve qu’un intérêt limité pour les choses de ce monde. Elle occupe ses journées entre sa passion pour les chats et les films de genre obscurs.
Lorsqu’un groupe de miliciens armés fait irruption dans leur lycée, Jeff et Aja s’enfuient, jusqu’à atteindre un univers parallèle.
Embarquée dans un biplan poussif, propulsée dans une ville cosmopolite et magique, Aja fait la connaissance d’un peuple adorateur des démons, d’un Prince-Oracle, et d’un guépard qui parle. Quant à Jeff, il devient le meneur rétif d’un groupe de Passeurs envoyés à Torana Kala pour y retrouver l’Oracle de la Mort.
Ils auraient mieux fait de rester chez eux.

 

Parution le 23 octobre 2017
ISBN : 978-3-95858-149-4
e-ISBN : 978-395858-150-0
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Bonjour Lucille !
Bongeourre.

Peux-tu nous rappeler l’intrigue du T1 de Passeurs, Jeffrey Horlaw ?
L.H.J. 
: Jeff est élève dans un institut pour gosses de riches à problèmes. Lorsque le petit Nathan disparaît dans la forêt qui entoure l’école, il part à sa recherche avec son ami Ted. Ils se retrouvent happés dans un monde parallèle, puis traqués par une organisation militaire. Ted est fusillé. Jeff, lui, est sauvé de justesse par les Passeurs, des gardiens de la frontière entre les mondes.
Rescapé dans la ville d’Ithilnín, il découvre ce nouvel univers avec Lyune, capitaine des Passeurs, Reo, guérisseur en chef, et Tan, un guépard à l’humour sarcastique.
Intrigues politiques, exploration de ruines, infiltration dans une base milicienne… De nombreuses péripéties plus tard, Jeff retourne dans son monde. Mais pour lui, les choses ont irrémédiablement changé.

Et nous présenter celle du T2, Aja Lind ?
L.H.J.
 : Jeffrey Horlaw est parvenu à s’enfuir de justesse du monde d’Ithilnín. Il a manqué d’y laisser sa vie, et sa santé mentale.
Aja Lind, 16 ans, n’éprouve qu’un intérêt limité pour les choses de ce monde. Elle occupe ses journées entre sa passion pour les chats et les films de genre obscurs.
Lorsqu’un groupe de miliciens armés fait irruption dans leur lycée, Jeff et Aja s’enfuient, jusqu’à atteindre un univers parallèle.
Embarquée dans un biplan poussif, propulsée dans une ville cosmopolite et magique, Aja fait la connaissance d’un peuple adorateur des démons, d’un Prince-Oracle, et d’un guépard qui parle. Quant à Jeff, il devient le meneur rétif d’un groupe de Passeurs envoyés à Torana Kala pour y retrouver l’Oracle de la Mort.
C’est la 4e de couverture, ça ! Copieuse!^^

Beaucoup de lecteurs t’ont reproché ton sadisme après la lecture du T1. Est-ce que tu t’es calmée ? ^^
L.H.J.
 : Je trouve, oui, mais les messages d’insultes que j’ai reçus de mes bêta-lecteurs me laissent croire que non.

Bien que le reste de l’histoire n’ait rien à voir, le passage entre les mondes fait un peu penser à la saga À la Croisée des Mondes de P. Pullman… Hasard ou inspiration ?
L.H.J.
 : Inspiration assumée. À La Croisée des Mondes, c’est le livre de mon enfance. C’est un excellent roman fantasy et je conseille à tous  ceux qui n’ont pas réussi à passer les premiers chapitres quand ils étaient ados de lui donner une seconde chance. Je suis d’ailleurs excitée comme une gosse parce que La Belle Sauvage, une préquelle de la trilogie, sort en octobre !

Combien d’autres tomes prévois-tu ? Où en es-tu dans leur écriture ? Tu peux nous dévoiler un peu de leur contenu ?
L.H.J.
 : Il y a deux autres tomes prévus. J’ai bouclé la première partie du tome 3, mais les synopsis sont déjà écrits : je sais où je vais. Pour le contenu, impossible d’en parler sans spoiler. Je dirais simplement que Jeff va être confronté à des alliances et des trahisons inattendues… Je ne garantis rien sur le sadisme, par contre.

Merci !

Ballad With A Solitary Blade Vol. 3 – Interview avec les auteurs


http://blog.nats-editions.com/2017/09/aristide-interview-avec-vay.html

Ballad With A Solitary Blade Vol. 3

La poursuite finale est lancée !
Découvrez la conclusion du conte de sabres exotique „Ballad With A Solitary Blade“ signé Abacabu Rônin et dessiné par Linja.

Parution le 9 octobre 2017
ISBN : 978-3-95858-153-1
e-ISBN : 978-395858-154-8
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Bonjour !
Bonjour 🙂
Bonjour ^^

 

Le 3e volume de la série seinen Ballad With A Solitary Blade paraît enfin ! J Pouvez-vous nous rappeler l´intrigue principale des 2 premiers volumes ?
A.R. : On suit le voyage exotique et mouvementé d’une jeune guerrière et d’un mercenaire errant, chacun d’eux cherchant à accomplir sa propre vengeance. Naturellement, la première des deux cibles est loin d’être un simple anonyme et les choses vont donc méchamment dégénérer…

 

Quelle est l´intrigue de ce nouveau tome ? Est-ce le dernier ?
A.R. : Il s’agit des conséquences directes des événements du précédent tome, à savoir la traque de nos deux protagonistes. Ce final contient énormément d’action (poursuites, duels), beaucoup plus que dans les précédents. Vous savez, le scénario ayant été écrit avant même que je rencontre Linja, il n’était pas prévu à l’origine que l’histoire soit segmentée en différents tomes. Mais cela aurait représenté une charge de travail et surtout un coût bien trop important pour nous de la sortir en une seule intégrale. Même là sur 3 tomes, avec un troisième volume faisant plus du double des précédents (plus de 330 pages), certaines péripéties initiales ont dû être épurées, voire supprimées.

Pour cette histoire-là, effectivement c’est le dernier tome. Mais je n’exclus pas l’éventualité de revenir un jour à cet univers, ou de refaire apparaître certains personnages dans d’autres histoires.

Un Ballad With Several Blades demeure en tout cas envisageable, j’ai déjà une potentielle intrigue en tête mais pour l’instant, ce n’est clairement pas à l’ordre du jour.

 

Quelle est votre organisation créative (processus, répartition des tâches, travail traditionnel) ?
A.R. : Comme je vous l’ai dit, du fait que le scénario ait été écrit bien avant, je n’ai pas à me demander comment va évoluer l’histoire, tout au plus les réajustements nécessaires évoqués plus haut… Ce qui me permet ainsi de me concentrer de manière quasi-exclusive sur la conception des dessins. Cela concerne donc les concepts des personnages, des décors, des costumes, mais surtout ce qui demeure primordial à mes yeux, les storyboards. J’attache énormément d’importance aux cadrages et angles de prise de vue choisis pour l’élaboration de chaque vignette, encore plus lors des phases d’enchaînement de chorégraphies et scènes d’actions. La mise en scène a pour moi une importance capitale dans l’atmosphère qui doit se dégager de l’œuvre. Je me documente également énormément sur la faune, la flore et les civilisations, de façon à ce que l’univers créé soit le plus harmonieux possible. J’envoie ensuite doc, concepts et storyboards à Linja, qui les reproduit alors avec son propre design. Ensuite, elle me les renvoie, on effectue généralement quelques corrections et ajustements, puis elle encre et trame entièrement à la main.

Exceptionnellement pour ce troisième volume, lorsque nous ne pouvions utiliser certaines trames pour diverses raisons, les trames ont été rajoutées numériquement par mes soins (comme par exemple la séquence avec les lucioles), à part cela tout le reste est réalisé de manière traditionnelle. Enfin, j’effectue en dernier lieu le lettrage et les pages sont envoyées à l’éditrice.

L : Pour ma part, dès que Romain m’envoie le paquet de story-boards et les instructions à suivre, le travail commence. Je reproduis ce que Romain veut illustrer au crayon dans chaque vignette et dès qu’il est d’accord, j’encre la totalité des chapitres à la main puis j’applique les trames, à la main également. Romain s’occupe de tout le reste, comme il vient de l’expliquer

 

Abacabu, quelles sont tes sources d´inspiration pour cette série ?
A.R. : Elles sont multiples. J’ai été élevé entre culture des arts-martiaux et culture polynésienne, il est indéniable que ces deux courants ont une influence capitale dans mes écrits. À cela s’ajoute ma passion incommensurable pour le cinéma, et en particulier celle pour le cinéma asiatique. Je souhaitais que sa mythologie martiale se situe à mi-chemin entre le chanbara et le wu xia pian. C’est pour cela que nous nous trouvons dans le cadre d’un conte de sabres un peu particulier, situé dans un univers océaniquo-asiatique non déterminé, avec des styles de combats de tout horizons. Néanmoins, en ce qui concerne l’ambiance générale de l’histoire, je pense qu’elle s’apparente davantage à celle d’un polar. Les connaisseurs du cinéma de Hong Kong, pourront y voir des échos à certains sous-genres, tel que l’heroic bloodshed, le girls with guns (eux-mêmes héritiers modernes des wu xia), ou bien encore les romances criminelles. Quoi qu’il en soit, mon idée première était avant tout de conter une histoire d’amour impossible, dans un univers où se mêlent mythes et légendes de sabres. Le titre apparaît certes à contre-courant des standards du Manga actuel, on pourrait même parler de Manga Indé, mais nous espérons justement que c’est pour cette singularité que les lecteurs l’apprécieront.

 

Pourquoi avoir choisi le sens de lecture japonais (de droite à gauche) ?
A.R. : La question ne s’est même pas posée en réalité. On fait du Manga, l’histoire se déroule dans un univers asiatique, pour nous ça allait de soi. J’ai commencé à concevoir les storyboards en sens de lecture japonais et le reste a suivi, tout simplement.

 

Avez-vous d´autres projets, ensemble ou non ?
A.R : Plusieurs oui, en ce qui me concerne. Dont un qui me tient particulièrement à cœur dans le registre de la comédie d’arts-martiaux. Là encore le scénario est déjà écrit, les concepts des personnages sont également prêts. L’univers dans lequel ils évolueront devrait assurément vous surprendre… Après, est-ce que le projet se concrétisera avec Linja ? Ça, l’avenir nous le dira…la réponse se trouve surtout entre les mains des éditeurs.

L : En ce qui me concerne, oui, j’ai des projets, mais je suis tenue au secret…

 

Merci !
Merci à vous.
Merci.

Aristide – Interview avec Vay


http://blog.nats-editions.com/2017/09/aristide-interview-avec-vay.html

Aristide

Aristide est un jeune prince très timide dont le royaume est
dirigé par un terrible régent, qui compte bien garder le pouvoir pour lui-même.
Mais, alors qu’un mal mystérieux menace ses sujets, Aristide
se lance dans des recherches, aidé par sa jeune amie et maraîchère Marguerite.
 Ensemble, à l’aide de plantes et de sciences,
parviendront-ils à trouver un remède et à se défaire du Régent ?

Parution le 25 septembre 2017
ISBN : 978-3-95858-140-1
e-ISBN : 978-395858-141-8
Envie de le lire ? Rendez-vous sur la boutique en ligne

 

Bonjour Vay !
Après Mia, tu retrouves Merry Daurey avec Aristide… Peux-tu nous présenter ce nouveau conte ?
V. : C’est l’histoire d’un jeune prince dont les parents ont malheureusement péri lors d’une épidémie de variole. En attendant qu’il soit en âge de régner, c’est son oncle qui est nommé Régent du royaume. Mais Aristide n’est pas un petit garçon comme les autres, il est souvent dans la lune, très maladroit et a de la peine à parler en public. Heureusement, dans son malheur, il fait la connaissance de Marguerite, une jeune demoiselle pleine d’assurance et tout aussi futée que lui.


Comment est né ce projet ?
V. : Avec Merry, lors d’une discussion sur les livres de « conte » que l’on trouvait durant notre enfance, on s’est fait la réflexion que c’était un peu navrant cette manie de mettre les jeunes filles dans un état de « faiblesse » permanent, à attendre le prince qui les délivrera, etc. Du coup, on a eu envie de partir sur un conte à contre-courant. Le but n’était pas « d’enlever » quelque chose au Prince et d’en faire une « princesse », mais bien de les mettre sur un pied d’égalité, avec leurs défauts et leurs qualités. Ainsi, nous avons une jeune demoiselle, très sûre d’elle, aimant les travaux plutôt manuels, aimant le contact à la nature et très intelligente. Et de l’autre côté, un prince plutôt inventeur, chercheur, mais très maladroit et qui préfère les livres et le confort de son laboratoire.Tu changes de technique… Alors que les illustrations de Mia ont été créées à l’ordinateur, celles d’Aristide sont traditionnelles. Pourquoi changer ? As-tu une technique favorite ?
V. : Effectivement, les illustrations d’Aristide son aux feutres à alcool avec des rehauts de crayons de couleur. Il n’y a que la couverture qui est une technique mix entre du digital et du feutre à alcool, mais c’était surtout pour une question pratique. Sinon, non, je n’ai pas de technique favorite. En fait, j’apprécie le changement, ça met un peu de « piquant » et surtout, comme j’aime apprendre, je profite des illustrations jeunesse pour « me faire la main ».As-tu d’autres projets en cours ?
V. : Ha, mais j’ai toujours de nouveaux projets ! Le problème, c’est plutôt de trouver le temps pour les faire ! J’ai une BD qui végète depuis plus d’une année, un autre contrat pour un livre jeunesse pour décembre, une autoédition aussi pour décembre, et si tout va bien déjà deux autres contrats devraient venir pour 2018. Et en plus de tout ça, j’ai aussi une exposition en vue, des portraits féminins essentiellement en plusieurs techniques. Autant dire que je suis aux anges, ravie et bien occupée

Tu ne fais pas que du jeunesse… Tu nous en dis plus sur tes autres travaux ?
V. : Effectivement, je ne fais pas que du jeunesse. Comme pour les techniques de dessin, j’aime aussi varier les univers. Je passe donc, allègrement, d’une couverture de livre — aux univers aussi variés que les romans futuristes, post-apocalyptiques et fantastiques — aux portraits plus féminins ou sur commande, et tout ça en faisant un petit détour par des études de nu que j’apprécie toujours autant. C’est dire si j’aime la variété ! D’ailleurs, dès le mois d’octobre, je vais donner des cours de base de dessin dans une Université Populaire.

Merci !

 



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